Quel match à suspens, jusqu'aux derniers instant nous ne savions pas qui allait sortir vainqueur de cette lutte de haute qualité.
*Payennelli interpelle le coach des Bas du Tard*
Payennelli : Le début de match a été catastrophique, que s'est-il passé ?
Coach BT : Le public était clairement contre nous, pourtant notre cuisinier avait offert des tortillas à tout le monde à l'entrée du terrain afin d'amadouer le public adverse et d'aider le notre...
Payennelli : Justement, qu'y avait-il dans ces tortillas ?
Coach BT : Rien du tout, n'écoutez pas les mauvaises langues, mais ce qui est sûr c'est que le public s'en est pris à nos joueurs, et en a rétamé six d'entrée, alors du coup c'était facile pour la peste. La peste l'emporte d'ailleurs à ce public !
Payannelli : à 2-0, vous ne pensiez pas que c'était mal barré pour votre équipe ?
Coach BT : Absolument pas, mais l'arbitre s'en est mêlé et n'a même pas pensé à arrêter le chrono pendant l'émeute suivante. Le public skaven ne voulais pas voir continuer un match où son équipe pouvait se faire rattraper. Ils ont eu peur... Heureusement, un superbe crochet moche à permis à mon équipe de réduire la marque juste avant la mi-temps. On est revenu gonflés en seconde mi-temps, second TD d'entrée, puis une magnifique interception d'el gallero, mais malheureusement, la fébrilité en combat des coureurs et le manque total d'équilibre de mes joueurs m'a fait perdre la balle, la suite, vous la connaissez, l'adversaire marque un TD d'une extrême fadeur.
Payannelli : Vous avez l'air déçu...
Coach BT : Bien sûr l'adversaire était valeureux, oui mais à notre portée. Mais rien n'allait ! Ils avaient renforcé leurs armures, ce qui est illégal bien entendu. Nous ne poserons pas plainte, c'est la première fois. La balle nous échappait... Le public et l'arbitre étaient contre nous... On va devoir galérer en ligue pasteurisé.
Payannelli : Ce n'est pas dramatique, vous pouvez construire votre équipe comme cela.
Coach BT : oui mais le propriétaire a une dette à rembourser, il a donné sa femme en gage, et on va devoir demander un délai supplémentaire. Maintenant, c'est sûr, on a plus le doigt, pardon le droit à l'erreur...
Payannelli : Merci et bonne chance pour la suite.
*Payannelli se tourne vers le coach de la Peste Brune*
Payannelli : Vous devez être heureux de la victoire...